Oil : 62$, -25%; Silver : 20.13$, -0.15%

Notre Engagement

CONTEXTE INTERNATIONAL

DES PERSPECTIVES ENCOURAGEANTES MALGRÉ UNE BAISSE DES COURS

  • Les prix internationaux du pétrole ont amorcé un recul au cours du second semestre 2014 et ont continué de fléchir en 2015. La production mondiale de baril s ‘est stabilisée autour de 84.000 millions de baril par jour en 2014. Toutefois, le pétrole demeure une des matières premières les plus convoitées de la planète et l’importance de cette ressource dans les processus de développement reste majeur pour encore plusieurs décennies.
  • Le Continent Africain possède 10% des réserves mondiales. Le Congo se situe au 6 rang des pays africains producteurs de pétrole. La découverte de nouveaux gisements d’hydrocarbures de très bonne qualité, procure encore des marges bénéficiaires relativement importantes aux sociétés pétrolières internationales.
  • A côté des « super majors », de nouveaux acteurs, tels que les compagnies pétrolières nationales privées jouent un rôle de plus en plus actif et déterminant dans la gestion des activités pétrolières, depuis plus d’une quinzaine d’années, tel que la compagnie Africa Oil and Gas Corporation (AOGC) au Congo.

CONTEXTE NATIONAL

LES HYDROCARBURES AU CONGO, UN SECTEUR PORTEUR ET ATTRACTIF

Panorama du secteur des hydrocarbures en République du Congo

  • L’économie du Congo repose principalement sur l’exploitation de ses Hydrocarbures;
  • La production annuelle de pétrole devrait, selon les projections, s’établir aux environs de 360 000 barils par jour en 2017 et atteindre un maximum de 390 000 barils à horizon 2018;
  • Le Congo a des réserves estimées à 1.6 milliards de barils de pétrole et à 90.6 milliards de mètre cube de gaz;
  • Le Congo a réorganisé en octobre 2016 son secteur des hydrocarbures en prévoyant l’adoption d’un nouveau code des hydrocarbures et des mesures institutionnelles, incluant entre autres :
    • L’attribution de nouvelles licences pour les zones libres et le renouvellement pour les zones en exploitation;
    • La modernisation du régime fiscal douanier;
    • La promotion du secteur privé national.